Les années folles de Foujita

25.07.2018

Léonard Tsuguharu Foujita, portrait de l’artiste, 1928, huile et gouache sur toile, Paris, Centre Pompidou - Musée national d’art moderne - Centre de création industrielle © Fondation Foujita / Adagp, Paris, 2018 - Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Jacqueline Hyde

Le Musée Maillol à Paris a présenté une exposition consacrée à ce dandy japonais, naturalisé français. Puisant dans ses racines orientales afin de rivaliser avec les maîtres occidentaux, Foujita a illuminé son temps. Plus d’une centaine d’œuvres majeures issues de collections publiques et privées retracent le parcours exceptionnel de l’artiste, rappelant au passage ses thèmes de prédilection : femmes, enfants, animaux et lui-même (au visiteur de rétablir l’ordre d’importance).

Selon ses dires, Foujita se levait chaque matin mu par le désir de participer au dialogue culturel franco-nippon. La rétrospective le confirme. Un demi-siècle après la disparition du peintre, sa voix continue de résonner.

Léonard Tsuguharu Foujita, Femme allongée, Youki, 1923, huile sur toile, collection particulière © Fondation Foujita / Adagp, Paris, 2018 Photo : © Archives artistiques

Léonard Tsuguharu Foujita, Chiens savants, 1922, huile sur toile, collection particulière © Fondation Foujita / Adagp, Paris, 2018 Photo : © Archives artistiques

Léonard Tsuguharu Foujita, Petite fille au capuchon, 1929, huile sur toile, collection particulière, © Fondation Foujita / Adagp, Paris, 2017

Léonard Tsuguharu Foujita, Combat I, 1928, huile sur toile, 299,7 x 301,6 x 4,7 cm, Maison-atelier Foujita, Conseil Départemental d’Essonne, Evry France, photographie Laurence Godart © Fondation Foujita / Adagp, Paris, 2018 © Maisonatelier Foujita. CD Essonne. Photographie Laurence Godart